Vous êtes amateur de sports nautiques et de sensations fortes ? Dès l’arrivée des beaux jours vous n’aspirez qu’à une chose, profiter pleinement des joies de l’eau. Vous venez d’acquérir un jet ski mais pour pouvoir vous adonner à votre activité favorite sans stress, il est essentiel de contracter une assurance.
Pour piloter un scooter des mers de plus de 6 CV, vous devez avoir 16 ans et posséder le permis bateau de plaisance option « côtière ». Jusqu’à présent, vous pratiquiez le jet ski durant vos vacances sous la responsabilité d’un moniteur agréé. Dans ce contexte, aucun permis bateau n’est nécessaire, bien que cela ne dispense pas de suivre quelques règles de sécurité. Ainsi, la navigation doit se faire en plein jour et se limite dans les chenaux dédiés à ce type de navigation sans dépasser 5 nœuds, soit 10 km/h. Les jet skis à selle ne doivent en aucun cas s’éloigner du littoral au-delà de 6 miles nautiques, ce qui correspond à 9,7 kilomètres. Quant aux appareils à bras pouvant accueillir une seule personne, le secteur est réduit à 2 miles nautiques, autrement dit 3,7 kilomètres.
Maintenant que vous êtes l’heureux propriétaire d’un scooter des mers, vous devez choisir une assurance adéquate.
Il n’existe aucune obligation légale de contracter une assurance pour votre jet ski. Cependant, la pratique de cette activité vous expose à un certain nombre de dangers. Bien que rarement mortels, les accidents peuvent parfois être graves, sans parler de la fréquence des vols. En cas de collision, les dégâts matériels font vite grimper la facture. Pour toutes ces raisons, l’assurance représente le meilleur moyen de garder l’esprit serein aussi bien sur l’eau que lorsque votre scooter des mers dort dans le garage.
Les garanties demeurent optionnelles. Vous êtes libre d’opter pour celles qui correspondent le mieux à votre situation :
Pour comparer objectivement une contrat d'assurance, il convient d'être attentif aux montants des franchises et autres exclusions.
Soyez vigileant, le vol représente le risque le plus courant. En conséquence, les assureurs affichent un taux de vétusté très élevé pouvant atteindre 25 %.